Aller au contenu
  • actualités
  • à propos
  • créations
  • scène contemporaine autochtone
  • contact
  • EN
Menu
  • actualités
  • à propos
  • créations
  • scène contemporaine autochtone
  • contact
  • EN
  • actualités
  • à propos
  • créations
  • scène contemporaine autochtone
  • contact
  • EN
Menu
  • actualités
  • à propos
  • créations
  • scène contemporaine autochtone
  • contact
  • EN
  • actualités
  • à propos
  • créations
  • scène contemporaine autochtone
  • contact
  • EN
Menu
  • actualités
  • à propos
  • créations
  • scène contemporaine autochtone
  • contact
  • EN

corps-sanctuaire

Le sanctuaire symbolise le refuge, là où on se sent en sécurité et en paix.

Le Corps-Sanctuaire est un projet artistique interdisciplinaire qui a débuté en 2014 entre quatre artistes en danse, théâtre, arts visuels et vidéo et des résidentes du Foyer pour femmes autochtones de Montréal.

À travers l’exploration de différents médiums, les artistes et les participantes partagent et documentent leurs expériences et histoire personnelle. Chaque discipline apporte une texture différente à la forme créative qui émerge et permet de transposer l’histoire particulière de chacune de ces femmes. Leurs histoires racontent souvent la perte, l’abandon, la violence, mais parlent aussi de sécurité, d’amour et de résilience face aux multiples obstacles en apparence insurmontables.

Le projet du Corps-Sanctuaire aborde deux thèmes centraux : le corps comme sanctuaire et le corps qui raconte, en réponse à la situation fragile que vivent ces femmes. Le sanctuaire symbolise le refuge, là où on se sent en sécurité et en paix. Dans ce projet, la participante est invitée à explorer son corps de façon pour retrouver, par la mémoire, les sensations, un son ou une image, ce sentiment de paix et de sécurité. Au-delà de l’individu, la quête du sanctuaire est reliée au besoin d’éprouver un sentiment d’appartenance et de trouver sa place dans la société.

Le corps qui raconte s’appuie sur la notion du sanctuaire, apportant un contexte dans lequel le sanctuaire peut exister. Lorsque nous reconnaissons notre propre histoire, nous pouvons nous situer dans nos relations avec les autres. Le corps qui raconte soutient l’idée que les traces de la culture et de l’histoire sont présentes dans notre corps et que les mémoires contenues dans notre corps se transmettent d’une génération à l’autre.

Une première phase du projet avait lieu en 2014-16 et mettait l’accent sur l’expérimentation, la recherche et la création à travers une série d’ateliers intensifs. Une seconde phase de recherche et création commencera à l’automne 2016 et permettra aux participantes de créer des œuvres à partir du matériel qui a été développé lors des ateliers. L’installation-performance issue de leurs expérimentations collectives sera présentée au grand public en 2017.

Idée originale : Reena Almoneda Chang Créatrices et facilitatrices : Reena Almoneda Chang, Dayna Danger, Émilie Monnet et Melissa Morris En collaboration avec : Les résidentes du Foyer pour femmes autochtones de Montreal

« Dans ce projet, on explore certains concepts qui font partie de ma propre pratique artistique comme le métissage de diverses esthétiques culturelles, la rencontre entre les expériences personnelles et les enjeux globaux et sociaux, et surtout l’exploration du corps comme contenant de mémoire et conteur de l’histoire de l’individu. »
Reena Almoneda Chang, en entrevue avec l'équipe de médiation culturelle à la Ville de Montréal, mars 2016
« En travaillant dans le communautaire, surtout avec des non-professionnelles qui sont dans une étape difficile de leurs vies, il faut absolument accepter l’imprévu dans le déroulement du projet. Il faut trouver un équilibre entre la valorisation de ce qui émerge dans le moment présent et la rigueur nécessaire qui permette d’avancer jusqu’à l’œuvre finale. »
Reena Almoneda Chang, en entrevue avec l'équipe de médiation culturelle à la Ville de Montréal, mars 2016
« J’espère que ce projet, cette expérience, donnera aux femmes la possibilité d’exprimer un aspect de leur vécu qu’elles n’ont peut-être pas eu l’opportunité d’exprimer ailleurs. D’après mon expérience, le processus créatif nous permet parfois de transformer notre manière de voir, de vivre et d’interagir avec le monde. Même si la priorité des femmes est de récupérer leur vie et de guérir d’expériences vécues très difficiles, mon espoir est qu’elles puissent découvrir de quelle manière une expérience artistique peut être un outil de transformation personnelle. »
Reena Almoneda Chang, en entrevue avec l'équipe de médiation culturelle à la Ville de Montréal, mars 2016
Précédent
Suivant

VISUELS

PARTENAIRES

info@onishka.org

liste d'envoi

© 2023 | Productions Onishka

Facebook-f Instagram Vimeo-v

info@onishka.org

liste d'envoi

Facebook-f Instagram Vimeo-v

© 2023 | Productions Onishka

logo | Sébastien Aubin

webdesign | Julien Berthier

  • actualités
  • à propos
  • créations
  • scène contemporaine autochtone
  • contact
  • EN
Menu
  • actualités
  • à propos
  • créations
  • scène contemporaine autochtone
  • contact
  • EN
  • FR
  • EN
Facebook-f Instagram Vimeo-v