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— Juillet 2017, Poundmaker —
Lors d’une résidence à Poundmaker chez l’homme de théâtre cri Floyd Favel, une nouvelle étape de création est réalisée pour le projet Nigamon/Tunai. L’artiste Waira Nina, de la nation Inga de l’Amazonie en Colombie, prend part à cette résidence avec Émilie Monnet. Les deux artistes élaborent un projet qui vise à faire le pont entre les enseignements des femmes autochtones d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord. Leur recherche porte sur le travail sonore et visuel comme espace de réunion de leurs deux cultures (Canada et Colombie) à travers l’exploration du chant. Le chant silencieux y est exploité en réponse à la violence faite aux femmes et à la Terre.
Cette résidence se conclut par un partage de leur recherche à l’Université du Manitoba dans le cadre d’une rencontre intitulée « Performing Embodied Oralities in the Americas II ». Dans ce contexte, elles ont présenté une conversation performative le 4 août 2017.
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