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okinum

« Les castors sont une des seules espèces avec l’humain qui laissent une trace sur terre visible depuis l’espace.
Une trace laissée sur la Terre
Un barrage pour se protéger,
Mais seulement visible depuis le monde des étoiles. »

Okinum, extrait

En langue anishnabemowin, Okinum signifie barrage. Inspiré par le rêve récurrent d’un castor géant, Okinum est une réflexion intime sur la notion de barrages intérieurs, une ode au pouvoir du rêve et à l’intuition. La parole est libérée afin de remonter la rivière de la mémoire des ancêtres et pour se réconcilier, avant tout, avec les différentes facettes d’une identité multiple.

L’artiste pluridisciplinaire Émilie Monnet débute sa résidence au CTD’A en proposant une expérience immersive en trois langues (français, anishnabemowin, anglais). Elle allie théâtre, son et vidéo au moyen d’une dramaturgie unique, circulaire et envoûtante. Se tisse ainsi une série de tableaux oniriques, où l’espace-temps n’est pas conçu de façon linéaire, véritable témoignage d’une filiation qui inspire.

Texte, co-mise en scène, interprétation : Émilie Monnet Co-mise en scène : Emma Tibaldo et Sarah Williams Conception sonore et interprétation : Jackie Gallant Interprétation sonore : Véronique Thusky, Thelesh Bégin Assistance à la mise en scène : Elaine Normandeau Scénographie : Simon Guilbault Éclairages : Lucie Bazzo Costumes : Swaneige Bertrand Vidéo: Clark Ferguson Conseil dramaturgique : Élizabeth Bourget, Sara Dion Conseil culturel et en langue anishnabemowin : Véronique Thusky Sonorisation et direction technique : Frédéric Auger Régie : Gaspard Philippe / HUB Studio

REPRÉSENTATIONS

2 au 20 octobre 2018 au Centre du théâtre d’aujourd’hui, Montréal
Salle Jean-Claude Germain

13 octobre 2019, Le Diamant, Québec, lecture musicale

25 au 28 avril 2020, Festival Les Tréteaux du Maroni,
Saint-Laurent de Maroni, Guyane française (reporté)

2 au 11 septembre 2021, au Théâtre du Centaur, Montréal présenté en primeur en anglais, en coproduction avec Imago Théâtre

14 au 16 septembre (en anglais) et les 17-18 septembre 2021 (en français), au Centre national des arts
Théâtre Babs Asper

4 au 22 octobre 2022 à Espace Go, Montréal

11-12 novembre 2022 (version anglaise) au Muenchner Kammerspiele, Munich (Allemagne) dans le cadre du festival « Water, Earth and I »

2 au 5 février 2023 (version anglaise) au festival PuSH, Vancouver (BC)

9 au 11 février 2023 (version anglaise) à Boom Arts, Portland (OR)

25 au 26 février 2023 au Centre dramatique Kokolampoe, Saint Laurent du Maroni (Guyane Française)

1er mars 2023 dans la communauté autochtone kali’na à Awala Yalimapo (Guyane française)

3 mars 2023 dans la communauté autochtones arawac de Sainte-Rose de Lima (Guyane française)

23 au 24 mars 2023 au théâtre Le Diamant de Québec

12 juillet 2023, en lecture publique dans le Cloître Benoît XII du Palais des papes, pendant le Festival d’Avignon, sur invitation des scènes permanentes d’Avignon

dossier de présentation
« Mettre en lumière l’héritage des cultures autochtones est au cœur de l’œuvre d’Émilie Monnet, auteure, comédienne et metteuse en scène qui entreprend une résidence artistique au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui avec la pièce Okinum. »
L’Actualité, 14 septembre 2018 : Trois questions à Émilie Monnet
« Les enchevêtrements du récit personnel de l’artiste, de ses séjours difficiles à l’hôpital, font écho à tout ce qui a été enlevé aux Premières Nations au fil des siècles, et aboutissent à une colère assumée contre les rapports de pouvoir colonialistes qui perdurent encore aujourd’hui envers ces peuples. »
Raymond Bertin, « Okinum : La parole en offrande », Revue Jeu, 12 octobre 2018
« Impossible de ne pas s’émouvoir devant pareille entreprise de réappropriation culturelle, réconciliation du corps et de l’esprit où la créatrice retrouve les chants et les mots de son arrière-arrière-grand-mère, renoue avec cette extraordinaire cosmogonie qui a bien failli lui échapper, tout comme à nous. »
Christian St-Pierre, Okinum : un barrage contre le maléfique, Le Devoir, 10 octobre 2018

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